Présente-toi :

Loïc Remond, 51 ans, la Voile ? Ben comment dirais je ; c’est presque comme Obélix, tombé dedans quand j’étais petit, je dirais même plus, sur un bateau quelque soit le support dés que j’ai su marché donc un vrai pied marin.

Soit à peu prés 46 ans de nav estivale, sur Saint-Malo (mes origines), méditerranée et Corse… Autodidacte et ce n’est pas prés de se terminer tant que le vent gonfle les voiles.

Depuis 20 ans au club Voile Auvergne, pour s’améliorer et surtout naviguer sur d’autres zones et autres voiliers, en tant équipier , second et chef de bord…faire partager ma passion mon idéal. Du coup par fidélité, administrateur depuis au moins 10 ans à mon club, et avec cette foutue réforme des territoires , administrateur et maintenant secrétaire du Comité Territorial Auvergne de Voile (CTAV), au winch pour défendre la voile Auvergnate. Je suis un 100% Brougnat.

Pourquoi as-tu voulu intégrer le CA de la Ligue de voile Aura ?

Comme les régates, c’est le grade supérieur.

Dans notre société, aujourd’hui chaotique où les associations dont les sportives sont les fondations, j’estime que c’est notre rôle fédéral de soutenir les structures, où les matelots de l’ombre sont les bénévoles… Sans eux pas de chef de bord.

Mon parcours pluridisciplinaire à contre courant peut amener un coup de spi.

Quelles sont tes attentes ?

Renouer des liens de proximité avec les structures déconcentrées, les écouter et s’appuyer sur les équipages locaux compétents.

Que penses-tu apporter à la Ligue ?

Ma flibuste, mon coté corsaire pour redistribuer en local.

Quelle est ton dicton ?

Une de mes devises fétiches est une citation de Saint Exupery : ” Si tu veux construire un bateau, ne rassemble pas les hommes et femmes pour leur donner des ordres, pour expliquer chaque détail, pour leur dire où trouver chaque chose… Si tu veux construire un bateau, fais naître dans le cœur de tes hommes et femmes le désir de la mer “.

La mer peut être l’étang à coté de chez toi, où un Optimist évolue, jusqu’aux rugissants des océans avec un ORMA 60 battant le Trophée Jules Verne.